par assocecf | Mar 29, 2023 | Bien-être
Vous cherchez une façon de vous détendre rapidement, sans y passer des heures et le tout gratuitement ?
Vous avez besoin d’une pause, de lâcher prise ?
La cohérence cardiaque est faite pour vous !
Cette technique de relaxation simple fait des miracles.
L’objectif est de synchroniser la respiration avec les battements du cœur afin de réduire le stress, favoriser un bien-être immédiat et pour longtemps.
Aucune connaissance scientifique ou médicale n’est requise. Cette pratique est à la portée de tous.
La cohérence cardiaque peut être pratiquée à tout moment de la journée. Ses bienfaits sont nombreux et scientifiquement prouvés !
Découvrez comment ça marche et de quelle manière l’intégrer dans votre quotidien.
Qu’est-ce que la cohérence cardiaque ?
Technique développée aux États-Unis, dans les années 90, la cohérence cardiaque est introduite en France par le docteur Servan-Schreiber, dans les années 2000.
Le rythme cardiaque classique est de 60 pulsations par minute.
Il augmente en cas d’émotion forte ou lors d’un épisode d’anxiété, ce qui entraîne une accélération plus ou moins importante de la respiration…
La cohérence cardiaque permet de rééquilibrer ces deux éléments, le rythme cardiaque et la respiration pour retrouver calme et sérénité. L’objectif est d’apaiser le corps et l’esprit pour prendre les choses avec plus de recul, éviter la panique et reprendre le contrôle sur ses émotions.
Comment la pratiquer ?
La cohérence cardiaque se pratique facilement au quotidien : dans les transports, le matin avant le petit déjeuner ou sous la douche, ou encore le soir au coucher.
Gardez en tête la combinaison 5-5-5 : dans un endroit calme, assis, debout ou allongé, inspirez 5 secondes, expirez 5 secondes, le tout pendant 5 min. Vous voyez, c’est très facile !
Dans l’idéal, il faudrait réaliser cette activité 3 fois par jour.
Cet exercice peut aussi se pratiquer à chaque instant où l’on en ressent le besoin.
Des applications existent comme RespiRelax pour vous guider et vous permettre de rester concentré.
Quels sont les bienfaits de la cohérence cardiaque sur la santé mentale et physique ?
Incroyable mais vrai : il faut seulement 5 min d’exercice pour ressentir les effets pendant 3 à 6 heures.
De nombreuses études scientifiques ont prouvé l’efficacité de la cohérence cardiaque :
- Au niveau physiologique, l’hormone du stress, le cortisol, baisse de manière significative. A l’inverse, l’hormone de jouvence augmente.
- D’un point de vue mental, les pratiquants ont perçu une réelle diminution du stress et une plus grande capacité à prendre des décisions, à lâcher prise, à se distancer des différentes sollicitations. Ils sont aussi plus à l’écoute des autres et d’eux-mêmes.
- Au quotidien, c’est aussi un bon exercice pour s’endormir plus facilement le soir.
La cohérence cardiaque est d’ailleurs de plus en plus utilisée dans le sport de haut niveau, pour aider les athlètes à se canaliser. C’est le cas de Florent Manaudou, champion olympique de natation.
Article rédigé par Aurore G.
par assocecf | Mar 12, 2023 | Bien-être
Véritable miroir de nos émotions, reflet de notre état d’esprit, la musique en dit long sur nous sans même que l’on s’en aperçoive. Que l’on ait besoin de se motiver pour le sport, de se mettre au calme pour écrire ou de se relaxer après une journée intense, elle nous accompagne au gré de nos envies.
(suite…)
par assocecf | Fév 2, 2023 | Bien-être
Selon Sonja Lyubomirsky, chercheuse en psychologie positive, si 50 % de notre bonheur est déterminé par la génétique et 10 % par les événements extérieurs, la bonne nouvelle est que 40 % ne dépendent que de nous-même. La question est alors :
De quelle manière agir sur cette part de bonheur ?
Si seulement 10 % de notre bonheur sont liés aux événements extérieurs, on ne saurait nier que ces derniers impactent considérablement notre bien-être. Ces événements extérieurs prennent souvent la forme de problèmes qui, soit n’en sont plus dès lors qu’ils peuvent être résolus, soit ne trouvent pas de solution et entravent notre épanouissement. Toutefois, plutôt que de s’escrimer à tenter de résoudre des problèmes dont la solution ne dépend pas de nous, nous devrions modifier la perception que nous avons desdits problèmes. En effet, la perception est le principal levier d’action sur lequel nous pouvons agir.
Le modèle de Palo Alto
Il ressort du modèle de Palo Alto (approche thérapeutique dite systémique et stratégique née dans les années 1950) que bien souvent, c’est ce que l’on tente de faire pour résoudre nos problèmes qui les maintiennent. Les études de cas de la psychopraticienne Nathalie Goujon, formée à cette approche, mettent en exergue que la lutte contre des problèmes visiblement insolvables, en plus d’être vaine, alimente la frustration. C’est pourquoi elle propose à ses patients des virages à 180° en partant du postulat suivant : « si tout ce que vous avez essayé n’a pas fonctionné, essayez l’inverse » – soit plutôt que de lutter contre le problème, faire avec le problème.
A titre d’exemple
Supposons que vous rêvez de vous adonner à une activité, mais qu’en raison de douleurs celle-ci vous est impraticable. Vous allez chercher à tout prix une solution pour aller mieux et reporter vos projets jusqu’à ce que ce soit le cas. À défaut de solution effective, ce report sera indéfini. Aussi, en plus de subir vos douleurs, vous vivrez dans la frustration de ne pas pouvoir faire ce que vous aimez. Il s’agit alors de se poser la question du but conscient : « Si vous étiez certain que la situation perdure, qu’est-ce que vous changeriez ? ». Celle-ci permet de désactiver toutes tentatives de régulation interne et externe. La lutte et la frustration cessent et le problème disparaît. Vous serez alors à même de vous tourner vers de nouvelles activités, de vous découvrir d’autres passions que votre condition vous permet et de retrouver goût à la vie.
En conclusion
C’est bien la modification de notre perception qui a la faculté de nous permettre d’appréhender plus facilement les difficultés du quotidien. Et c’est dans l’acceptation et le lâcher prise que l’on peut augmenter cette fameuse part de 40 % constitutive de notre propension au bonheur. Alors, prêts à changer de prisme ?
Article rédigé par Ariane D.
par assocecf | Jan 13, 2023 | Bien-être
Si je vous dis ultratrail en conditions extrêmes, vous me répondez IditaRod Trail ! Cette course annuelle réservée à quelques athlètes de haut niveau fait rêver Thierry Corbarieu 4 ans après son exploit dans une compétition aux conditions similaires, la Yukon Arctic Ultra. Du lieu d’entraînement aux pratiques sportives choisies, rien n’est laissé au hasard. Découvrez tous les secrets de la préparation physique de Thierry Corbarieu dans cet article.
Ultratrail en conditions hivernales extrêmes
Thierry Corbarieu est un habitué des courses les plus longues du monde. L’année dernière, il s’est qualifié sur le tracé petit format (500 km) de l’IditaRod Trail. En février, il sera de nouveau sur la ligne de départ de cette même cours. Seulement cette fois-ci, ce sera pour parcourir un tracé de 1600 km en milieu polaire.
Son objectif est clair : il veut simplement arriver ! Dans l’histoire du trail, il est le seul français à l’avoir fait. Le niveau est élevé, la sélection est rude. Une trentaine d’athlètes uniquement sont autorisés à prendre le chemin de la course. Au programme, différentes disciplines : la moitié des participants sont des runneurs (dont notre sportif), l’autre moitié sont des skieurs et des cyclistes. Ils partiront et fouleront à leur rythme les quelque 500 km que les séparent de la ligne d’arrivée.
Un ultratrail tel que celui-ci présente des risques. Entre le froid, le matériel à tirer et la solitude, mieux vaut être extrêmement bien préparé. Il a accepté de partager avec nous tous les secrets de sa réussite.
Choix du terrain d’entraînement
La première partie de son entraînement s’est déroulée dans les Pyrénées début décembre. La neige est encore peu présente. Ces conditions clémentes sont idéales pour commencer à se préparer. En plein hiver, c’est plus difficile. La région trop escarpée ne permet pas de s’exercer convenablement à tirer la pulka sur plusieurs centaines de kilomètres. Même si le parcours de l’IditaRod Trail est enneigé, il n’est pas uniquement montagneux.
Direction le GR® 509, la Grande Traversée du Jura pour le début d’année ! Cette zone géographique à proximité offre des conditions météorologiques un peu plus proches du froid polaire : sec et humide, sans les importantes températures négatives. La topographie reproduit bien l’espace de la course. Les vallées, plaines et paysages accidentés se succèdent agréablement. Le tracé est bien balisé sur plusieurs centaines de kilomètres. Cela en fait donc le terrain de jeu idéal pour commencer à tirer la luge. En plus, des refuges sont disponibles pour pouvoir se reposer confortablement.
Préparation physique exigeante
Après le choix du terrain vient l’entraînement en lui-même. Thierry Corbarieu suit un programme strict et millimétré tous les jours pour parfaire sa condition physique déjà impressionnante.
Tous les matins, il enchaîne :
- du rameur ;
- du vélo en salle ;
- du renforcement musculaire ;
- et des étirements.
L’après-midi, place au cardio. Selon son humeur et ses envies, il effectue une session de course à pied ou un parcours à vélo. Jamais moins de 65 kilomètres ! Une façon idéale de gérer les variations de température au cours de la journée. Ce programme se rapproche d’un jour type sur un trail. Le départ peut être difficile le matin à cause des courbatures et de l’engourdissement des membres. Une pratique douce aide à réveiller le corps avec bienveillance. Une fois que les muscles sont chauds, on passe à la vitesse supérieure et on fait travailler le cœur.
Le trailer de haut niveau met un point d’honneur à varier les sports. Il protège ainsi ses articulations, ses muscles et ses tendons. Il tient également à tout prix à éviter les blessures, qui pourraient être synonymes d’abandon, ou du moins de difficulté supplémentaire. Deuxièmement, cela lui permet de s’exercer à la fois à la course et à la traction du traîneau, aspect à ne pas négliger.
Mindset de gagnant
Dans la vie comme dans le sport, on peut vite devenir tellement focalisé sur son objectif que l’on oublie de prendre soin de soi. Or, se ménager, c’est très important. Le corps a besoin de repos pour absorber tout l’effort accumulé. Les plus exigeants le savent, parfois, s’arrêter est plus difficile que de continuer. C’est pourquoi il faut apprendre à s’écouter sur le moment. Avec le temps, Thierry Corbarieu a affiné la connaissance de ses capacités, ce qui lui donne le pouvoir de reconnaître quand se relaxer, et quand repousser ses limites en toute sécurité. Tout cela va de pair avec l’humilité, une qualité essentielle à développer.
« Tous les jours, j’y pense. »
Quotidiennement, le coureur réfléchit aux moindres détails, il se projette, visualise ce qui va se passer durant l’ultratrail et prévoit tous les cas de figure pour pouvoir y répondre.
Bien sûr, il y a toujours des impondérables pendant la compétition et il faut savoir s’y adapter. Une bonne préparation et une bonne anticipation sont une des clés de la réussite.
Sa force ? Il ne laisse rien au hasard, l’inconnu n’a pas sa place. Le plus petit détail a son importance. Le choix d’une paire de chaussettes peut sembler anodin. Pour l’athlète de haut niveau, c’est soit synonyme de victoire, soit de blessure qui peut contraindre à l’abandon.
Curieux de nature, il n’hésite pas à poser beaucoup de questions aux spécialistes qui l’environnent. Cela l’aide particulièrement à prendre ses propres décisions et les assumer par la suite, en toute connaissance de cause. Que ce soit pour des conseils matériels ou plus terre à terre, il se nourrit de l’expérience des autres.
D’ailleurs, son entourage est très important. C’est l’un des secrets de sa réussite. Il peut compter sur le soutien inconditionnel de sa famille, passionnée de sport également.
L’abandon ? Un dernier recours pour l’athlète. Thierry Corbarieu donne tout ce qu’il a sur chacune de ses courses. En amont, il fait tout pour trouver des solutions, s’adapter, et agir en conséquence. Mais parfois, il faut savoir faire preuve d’humilité et accepter la situation, pour se protéger et rebondir encore plus fort.
Initiation d’un projet encore plus ambitieux
Cet ultratrail représente en quelque sorte une étude préliminaire à un projet encore plus ambitieux. Pour 2025, il souhaite partir faire un tour du monde. Sa préparation physique contiendra les ingrédients équivalents : un mélange entre sports portés (rameur, cyclisme), et sports d’impact (running). Même si de telles circonstances extrêmes ne sont pas attendues sur l’itinéraire, la Yukon Arctic Ultra lui permettra de renforcer son état d’esprit et sa condition physique. D’autres défis guettent le sportif : il se lancera dans l’inconnu sur un parcours sans repérage préalable. Qu’à cela ne tienne, cet ancien chef d’entreprise se laisse guider par la passion, et ça lui réussit plutôt bien ! Il s’amuse à comparer la course à pied à sa société. Ces mêmes valeurs qui l’ont fait grandir professionnellement, sont un atout. Il peut désormais se consacrer pleinement à sa passion du sport, des grands espaces, et à son nouveau projet de vie.
« Toujours avancer, pour soi et pour les autres. »
Article rédigé par Marlène A.
par assocecf | Déc 9, 2022 | Bien-être
Effectuer un tour du monde est un rêve pour beaucoup d’entre nous. L’ultra-traileur auterivain Thierry Corbarieu va réaliser le sien en 2025. Oui, mais pas n’importe comment et surtout, pas avec n’importe qui ! L’athlète voyagera cette fois-ci en famille, accompagné de son fils et de sa femme en fin de parcours. Une aventure familiale qui mêlera voyages à vélo, Gravel bike et surtout aviron. Derrière cette idée, l’envie de se connecter à la nature, mais aussi de partager des valeurs fortes à impact positif : dépassement de soi, humilité et solidarité. Des valeurs communes défendues par notre association. Notre président Thierry Clézardin a donc spontanément proposé au sportif de haut niveau de devenir membre d’honneur de l’association, ce qu’il a accepté pour notre plus grande joie ! L’aventure ne fait que commencer et un programme collectif se dessine. Découvrons notre nouveau membre et le projet qui nous lie.
Un parcours inspirant
Depuis plus de 10 ans, ce coureur de l’extrême a participé avec brio aux courses les plus impressionnantes. En 2019, l’athlète est arrivé premier sur deux des ultra-marathons réputés les plus difficiles au monde.
Thierry Corbarieu a tout d’abord gagné la course Yukon Arctic Ultra en février. Une épreuve longue et glacée de 430 miles, soit 692 km au milieu du froid mordant du nord du Canada. Les températures extrêmes peuvent descendre jusqu’à -40 °C. Il faut tirer son matériel derrière soi : un poids mort de 25 kg contenant tout le nécessaire pour manger et dormir. Dans ces paysages enneigés, le repos est bref : pas plus d’ 1 h 30. Une préparation physique ainsi qu’un mental d’acier sont donc impératifs pour concourir à ce genre d’événement. Thierry est le premier français à participer à cette compétition. Il fait honneur à notre pays en la remportant par la même occasion.
Une telle aventure comblerait la plupart d’entre nous. Notre sportif de l’extrême, lui, va chercher une fois de plus à voir les choses en grand. C’est, pour lui, une façon originale de se faire plaisir pour l’année particulière de ses 50 ans.
Après le froid en février, il a continué à s’entraîner avec, dans la ligne de mire, le désert mauritanien. La 1000, c’est cet ultra-trail de — comme son nom l’indique — 1000 kilomètres à travers les dunes, un autre challenge à relever pour l’homme qui n’a peur de rien. Cet habitué des trails sous hautes températures (Maroc, Oman, Thaïlande) a augmenté la difficulté d’un cran en multipliant le nombre de kilomètres parcourus. Dans ces conditions, les 40° sont allègrement dépassés durant de longues heures. Les obstacles physiques douloureux se sont ajoutés à l’environnement défavorable. Grâce à son mental puissant, il a pu surmonter ces épreuves. Il nous a offert une superbe leçon de vie : l’esprit de compétition, c’est bien, mais la solidarité c’est mieux ! Ainsi, afin de préserver avant tout sa santé et celle de son principal concurrent, Dominique Audry, les deux athlètes ont décidé de franchir la ligne d’arrivée main dans la main. Un bel exemple de fraternité !
Un nouveau projet ambitieux
Thierry Corbarieu a eu l’occasion de sillonner nombre de paysages vierges entre déserts, montagnes, grands froids et chaleurs extrêmes. Mais jamais lors d’un même voyage. Pour 2025, le projet tour du monde est lancé ! Ses différents exploits ont sans doute contribué à forger l’admiration de ses enfants. Aussi, l’un de ses fils se joindra à lui pour ce périple sans précédent. Ils relèveront ensemble un nouveau défi, et pas des moindres : traverser l’Atlantique en bateau à la rame des Canaries jusqu’en Guadeloupe.
Tout commencera à Toulouse, non loin de sa commune d’Auterive. Le premier enjeu : atteindre la belle ville de Cadix en Espagne en vélo. S’en suivra un trajet en ferry pour gagner le port d’El Hierro, dans les îles Canaries. C’est le point de départ idéal pour parcourir les 6000 km qui les séparent de la Guadeloupe. Un périple qu’ils effectueront à la rame, seuls et sans assistance.
Une telle traversée ne s’accomplit pas à la légère. Pour cela, les athlètes ont prévu de s’entraîner de manière intensive pendant 9 mois en amont de ce périple. CECF sera à leur côtés pour les soutenir et partager tous les dessous de leur préparation physique et mentale. Vous avez envie d’être aux premières loges ? Nous recherchons dès à présent des bénévoles pour nous assister dans la communication de cet événement unique. Prise de vue, montage, photographie et plus encore… Mettez vos talents au service d’une belle cause tout en gagnant en expérience. Contactez-nous !
Arrivés aux Antilles, nos globe-trotters auront bien mérité quelques jours de repos. Une courte pause avant de partir à l’assaut de la prochaine étape. Direction Miami pour de nouvelles aventures et la traversée des États-Unis. En tout, les sportifs vont sillonner quelque 7000 km en vélo jusqu’à la ville de Seattle.
Après le continent américain, place à la Mongolie et ses steppes à perte de vue. Afin de profiter du paysage au maximum et de repousser leurs limites, Thierry Corbarieu et son fils parcourront plus de 5000 km à travers le Kazakhstan, l’Ouzbékistan et le Turkménistan. L’objectif ? Rejoindre la mer Caspienne pour arriver en Turquie.
À partir de là, un autre membre de la famille se joindra au voyage. Son épouse Isabelle, également coureuse émérite, prendra part au dernier tronçon de l’aventure. Ils traverseront tous ensemble la Turquie, la Bulgarie, le Monténégro, la Croatie et l’Italie pour revenir au point de départ, place du Capitole à Toulouse.
Thierry Corbarieu, un sportif engagé
Thierry Corbarieu n’est pas qu’un sportif en quête de sensations fortes. L’aventure, la découverte et le dépassement de soi guident ses exploits physiques, mais pas que. Ce sportif au grand cœur est également poussé par des valeurs solides communes à CECF.
C’est pourquoi notre association a décidé de l’accompagner, lui et sa famille, avant, pendant et après ce tour du monde exceptionnel. Nous nous tiendrons aux côtés de nos champions français pour diffuser nos valeurs d’authenticité, d’humilité et de convivialité à travers les continents. Pour cela, nous prévoyons des rencontres dans les écoles dans les villes traversées par les deux hommes. Les jeunes, synonyme d’espoir et de renouveau, sont le vecteur idéal de transmission de ces idées. Notre ambition : rassembler et initier les relations entre ces enfants, quelle que soit leur nationalité, autour des notions de partage, de solidarité, et surtout, de positivité !
Vous représentez une entreprise, une collectivité ? Vous vous reconnaissez dans nos valeurs et souhaitez appuyer la mise en place de l’événement ? Parrainez le Bike And Boat World Tour tout en bénéficiant d’une exposition planétaire aux côtés d’un athlète exceptionnel.
Aidez-nous à clamer haut, fort et loin notre message solidaire et positif !
Article rédigé par Marlène A.
par assocecf | Sep 11, 2021 | Bien-être
Ce n’est pas Yves Montand qui vous dira le contraire ! Déjà en 1968, il lui vouait cette jolie chanson devenue patrimoine de la variété française. En 2020, Il est devenu la star du monde nouveau et le sport unanimement plébiscité : plus de 25% d’acquisition en un an !
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